| Fitzwilliam Hagebak-Davis ֎ the strength of thousand men
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| | Fitzwilliam Hagebak-Davis ֎ Faciem : jonathan bailey ֎ Diem natalis : 18 avril 1837 - 553 ans ֎ Officium : conseiller - domaine militaire. ֎ Locus : new abbotsford. ֎ Creator : livia hagebak. ֎ Nuntium : 518 ֎ Adventus : 06/03/2018 ֎ Color : #996600 ֎ Multicomptes : ephraim l. - circé h. ֎ Pseudo : nepenthès. ֎ Crédits : monoclegraphic.
La Régence | Fitzwilliam Hagebak-Davis֎ Nom complet : Hagebak-Davis. Gamin des rues n'ayant pas de nom autre que des insultes prononcées par les bouchers et autres maraîchers, il n'avait pas suffisamment d'importance avant qu'elle ne rentre dans son existence, éclairant sa nuit obscure telle une comète dans le ciel d'Ecosse. Ce ne fut cependant ni la pitié ni la colère qu'il vit quand il croisa pour la première fois les pupilles dorées de celle qui serait sa sauveuse, sa mère, son univers. Adopté par un couple de lord écossais, il fut élevé par ces derniers prenant leur nom et devenant leur descendance devant l'Eternel. Fitzwilliam. A l'instar de son nom de famille, il n'en avait pas lorsque son chemin croisa la belle dame aux blanches mains. Tout au plus, on l'invectivait d'un "gamin" ou "leanabah". Enfant espiègle et joyeux, ses parents et amis le gratifiaient d'un "Fitz" affectueux. Amant redoutable et efficace, il n'aime rien de plus qu'entendre des "William" gémis à son oreille sous ses coups de rein violents. ֎ Titre : Lord ; Fitz ; William ; Liam ; Conseiller. ֎ Date de naissance : 11 décembre 1836. ֎ Âge : 553 ans, une période où Glasgow était le centre du monde. Il a pu voir les évolutions marines et technologiques au fil des années. Témoin de la main mise de l'humain sur la technologie puis de la soumission du premier au second, il resta un observateur impassible devant ces dernières. 32 ans, le moment exact où son coeur battit pour la dernière fois. Du moins physiquement même s'il continua de ressentir de (trop?) nombreux émois. ֎ Créateur : Livia Hagebak, sa mère adoptive, sa Créatrice, son monde. Si son père était un humain mortel tout ce qui était plus morte, l'evanescence lumineuse de sa mère ne se réduisait pas à la clarté de ses cheveux blonds, à la chaleur de son regard doré, à la pâleur abyssal de sa peau. Si son toucher faisait courir des frissons glacés sur l'épiderme du jeune homme, elle irradiait d'un amour maternel si intense qu'il ne lui vint jamais à l'esprit qu'elle pouvait être une créature de la nuit. Pas même le fait qu'elle ne vieillissait nullement par rapport à son époux. Il entendit évidemment les murmures de sorcellerie formulés à son encontre dès qu'elle détournait le dos : à ses yeux, elle était aussi belle parce que c'était sa mère même si les cheveux noir ténèbres de Lord Davis s'éclairèrent. Il remarqua évidemment le fait qu'elle ne sortait que rarement en journée, voire jamais : elle était juste faite pour la lune qui soulignait davantage son teint de porcelaine plutôt que les rayons ardents du soleil. Elle était son tout. ֎ Infant(s) : Aucun. Mal à l'aise avec sa condition de monstre sanguinaire, il a toujours refusé de transformer le moindre humain, même ses propres épouses. La mort apparaît trop douce par rapport aux instincts meurtrier qui peuvent assaillir les Immortels. ֎ Localisation actuelle : New Abbotsford. ֎ Rang actuel : La Régence. ֎ Fonction(s) : Conseiller, domaine militaire. ֎ Calice : Aucun. ֎ Enregistré(s) : Aucun. ֎ Statut : Veuf. A plus d'une reprise, il se fit prendre aux jeux de l'amour et du hasard tombant sous le charme de boucles brunes, s'agenouillant devant des souffles humains. Son coeur aima, son coeur saigna. A chaque fois, il se convainquait que ce serait la dernière fois, que plus jamais il ne tomberait sous l'emprise d'une âme. A chaque fois, cependant, l'oubli laissait la place aux émois. Récemment, il a cependant perdu sa dernière épouse, ayant cédé à la Fièvre Rouge. ֎ Préférence(s) : Bisexuel. Amateur de chair, il entretien aussi bien les amitiés viriles que ne se laisse séduire par le chant des douces sirènes. ֎ Personnalité : Véritable épicurien, ses cinq sens demeurent toujours en éveil et il aime jouir des choses de la vie. S'il peut facilement se laisser aller à la volupté et qu'il se laisse guider par ses passions, il n'en demeure pas moins d'un côté cartésien relativement marqué qui peine à le laisser lâcher prise totalement. Il doit comprendre. Patient et persévérant, une fois qu'il s'est fixé un objectif, il n'en démord pas même s'il ne saurait employé de viles méthodes pour y parvenir. Cela vient sans le moindre doute de son éducation mais il est d'une loyauté et d'un honneur sans borne au point qu'il préférait mourir que d'être humilié ou que de se retrouver sali. Lorsqu'il accorde sa confiance à autrui, l'heureux élu peut compter sur lui jusqu'à la fin des temps. Gare cependant à qui le met en colère puisque son apparence calme et mesurée ne doit tromper personne, en dessous couve un volcan dont l'explosion peut s'avérer dévastatrice. La loyauté et la fidélité sont à la fois sa plus grande force et sa plus grande faiblesse. Lorsqu'il prête serment d'allégeance, c'est jusqu'à ce que mort s'ensuive. Ce qui l'a parfois mené à sa perte dès lors qu'il préfère la mort plutôt que le déshonneur. Son esprit de sacrifice le pousse à se donner entièrement et, en ce sens, il ne connait pas de limite. Dans le même temps cependant, ses passions amoureuses représentent le talon d'Achille de ce soldat émérite. Il a aimé passionnément deux fois. Et par deux fois, il a failli se détruire pour ne plus jamais avoir à ressentir la cruauté de la perte. Ipsa scientia potestas est
֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎֎ ֎ ֎ Pseudo nepenthès. Personnage inventé. FC jonathan bailey. Crédits@praimfaya :copyright:VOCIVUS |
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| | 06.08.23 20:30 | |
| | Fitzwilliam Hagebak-Davis ֎ Faciem : jonathan bailey ֎ Diem natalis : 18 avril 1837 - 553 ans ֎ Officium : conseiller - domaine militaire. ֎ Locus : new abbotsford. ֎ Creator : livia hagebak. ֎ Nuntium : 518 ֎ Adventus : 06/03/2018 ֎ Color : #996600 ֎ Multicomptes : ephraim l. - circé h. ֎ Pseudo : nepenthès. ֎ Crédits : monoclegraphic.
La Régence | ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎֎ ֎ ֎ Chronologie. |
1836. 1843. | Un début d'existence dans la misère. C'est une partie de son existence qu'il a oublié, profondément enfoui sous les multiples couches des décennies qui se sont étirées depuis. Il a vu le jour au sein d'une famille extrêmement nombreuse et exponentiellement pauvre. Ses parents ne se préoccupaient guère de ces trop nombreuses bouches à nourrir et celui qui ne s'appelait pas encore Fitzwilliam et ses frères et soeurs eurent à se débrouiller par leurs propres moyens très jeunes. Quand il fut suffisamment en âge pour savoir courir, il vécut dans la rue, véritable maillon fort d'un gang de gamins des rues, il dépouillait les nobles qui prenait en pitié les plus jeunes d'entre eux sans le moindre scrupule. C'était après tout une question de survie. Jusqu'à ce que sa main habile ne soit arrêtée par l'une bien plus rapide que la sienne. |
1843. 1855. | Changer le vilain petit canard en cygne. Alors qu'il tentait de dérober un couple d'aristocrates, il fut pris la main dans le sac par la femme, épouse de Lord Davis, Livia Hagebak-Davis. Plutôt que de veiller à ce qu'il soit puni, elle décida de le prendre sous son aile. Il vécut alors les plus belles années qu'il aurait pensé jamais vivre, bénéficiant des meilleurs professeurs et d'un amour familial qu'il n'aurait jamais imaginé vivre. Aimant profondément ses parents, la mort de son père adoptif fut un véritable drame pour lui alors qu'il se retrouvait désormais son héritier et officiellement Lord.
- Extrait de vie n°1:
« Do your duty. Never forget who you are and the great name you bear. » - 1849, Ecosse. “Où est-il ?” “Laisse le en dehors de ça, Norman. C’est entre toi et moi.”“J’ai accordé l’immunité à ton époux mais l’enfant ne faisait pas parti du pacte.”“Tu ne toucheras pas un seul cheveu de lui.”“Je toucherai ce que je veux de lui ou de toi, Liv. Maintenant et à jamais, nous sommes liés que tu le veuilles ou non.”Des cris étouffés et des coups sourds parvinrent aux oreilles du gamin qui s’approchait avec précaution de la porte. Ce dernier tentait de calmer les battements effrénés de son cœur pour ne pas alerter ni sa mère, ni l’inconnu qui avait pénétré les lieux à la tombée de la nuit. Il n’avait jamais vu celle qui l’élevait dans un état de panique pareille. Elle avait intimé aux domestiques de fuir les lieux et de mettre Fitzwilliam en sécurité malgré les protestations de ce dernier. Il était hors de question qu’on ne lui impose quoi que ce soit. Loin d’avoir un caractère gâté comme nombre d’enfants aristocratiques des environs, il avait gardé la reconnaissance de l’enfant sauvé mais également la rudesse de celui des rues. Parvenant à fuir les mains rugueuses de Mary, la lavandière, il retourna sur ses pas, ses petites jambes se précipitant sur les tapis lourds, étouffant ses chausses. Son œil se glissa dans l’interstice de la porte entrouverte où il devina deux silhouettes emmêlées dans une simulacre d’étreinte. Les longs cheveux d’or de Lady Hagebak retombaient en cascade désordonnées sur ses épaules dénudées tandis que l’homme, grand et brun, la dominait avec la force virile d’un être démoniaque. Les pupilles noires du mortel glissèrent sur le poignet délicat de sa mère que l’autre enserrait profondément entre ses griffes, la forçant à plier devant sa force incommensurable. Son sang se gela sur place alors que la peur fit battre son cœur de manière bien trop forte au point qu’il avait l’impression qu’une fanfare débarquant dans le petit salon ne pouvait le couvrir. Prenant son courage à deux mains et au moment même où l’agresseur semblait se tourner vers la mélodie cardiaque, Fitzwilliam pénétra les lieux, adressant un ordre virulent à l’intrus, repoussant au loin le danger qui semblait émaner de lui. “Ne touchez pas à ma mère !”Sans plus réfléchir, du haut de ses 13 ans, il attrapa la pelle à cendres dont la fonte semblait l’entraîner vers le fond et l’abattit sur celui qui n’avait pas sa place en ces lieux. “Liam, non !”“Le voilà.”Facilement, l’être surnaturel rejeta l’arme improvisée et se rapprocha lentement de sa proie, sa démarche de prédateur ne laissant aucun doute sur ses intentions. “Vous n’avez rien à faire ici. Quand Père…”“Et que crois-tu que cet avorton puisse me faire ?”“Norman, non!”En moins d’un battement de cil, Fitzwilliam se retrouva pendu dans les airs, la gorge enserrée dans une poigne de fer tandis que ses bras et ses mains se débattaient furieusement au fur et à mesure que l’oxygène venait à lui manquer. La dernière chose qu’il vit fut sa mère se précipiter sur le bras de l’inconnu avant que de sombres tâches n’envahissent son champ de vision et que les ténèbres ne l’engloutissent.
| 1855. 1868. | A l'aube d'une nouvelle vie. Devenu Lord trop jeune, il tente de bien faire les premiers temps mais laisse rapidement les rênes à sa mère, ne s'interrogeant nullement sur le fait qu'elle demeure toujours aussi belle et aussi jeunes que lors de leur rencontre. Afin de parfaire son éducation, il part étudier en Angleterre, en France et en Italie où il vit la même existence dissolue de nombreux jeunes hommes fortunés de son âge. Courant les bordels, multipliant les expériences amoureuses et accumulant les dettes de jeux malgré les avertissements de sa mère, il est victime d'un guet apens aux termes duquel il aurait pu laisser sa vie si ses amis ne l'avaient pas ramené auprès de sa mère. A bien y réfléchir, il y a même laissé sa vie en fin de compte.
- Extrait de vie n°2:
« For a while we must all suffer hardship but it will be worth it. » - 1868, Ecosse. “Maman ?” La voix était légère, vulnérable et avait de quoi glacer le sang. Cela faisait bien longtemps que le jeune homme n’avait pris un tel ton. Il avait besoin d’être rassuré alors que la vie semblait surgir hors de lui, un flot de sang continu dégoulinant de sa blessure béante au centre de son torse, un goût ferreux qui envahissait son palais. “William ?! Que s’est-il passé ?”Sans réfléchir, elle s’était précipité vers lui et, parvenu à la portée de sa mère dont la beauté éthérée n’avait pas changé malgré les années passées, il laissa la gravité prendre le dessus sur sa volonté et s’effondra dans les bras de celle qui lui avait redonné une chance sur une existence qui se devinait alors courte et douloureuse. “Que s’est-il passé ?” demanda-t-elle, la panique grondant dans sa voix habituellement si douce alors qu’il jurait que ses pupilles changeaient progressivement de couleur. Il ferma les yeux quelques instants alors qu’il se sentait comme si un nuage de coton l’enveloppait progressivement. Il était si fatigué que c’en était douloureux, comme si des milliards d’aiguilles s’enfonçaient dans ses bras et ses jambes alors qu’une chaleur diffuse continuait de se répandre depuis son plexus solaire. Incapable de parler, ce fut son meilleur ami, James, qui prit le relais en ses lieux et place pour expliquer ce qu’il était advenu. “C’était une embuscade. Nous étions sur le chemin du retour depuis la Maison de Tolède lorsque traversant un passage étroit, des hommes vêtus de capes noires et encapuchonnés nous attendaient et se sont précipités sur lui, toute lame dehors pour le larder.”“Qui ?!” La voix de lionne rugit à nouveau, rendant James fébrile et faisant froncer les sourcils de Fitzwilliam alors que ses pensées semblaient incapables de se coordonner les unes aux autres. La réponse pouvait être multiple. Fitzwilliam avait su s’attirer beaucoup d'inimitiés au travers des années : manigances politiques visant à écarter le Lord, jalousies de maris trompés entendant obtenir réparation, usuriers n’acceptant pas les délais sollicités pour payer les dettes de jeu de ses amis qu’il s’engageait toujours à honorer, blessures de nobles d’avoir vu les propositions de mariage refusées, religieux ne goûtant que peu aux débauches sataniques perpétrés par lui et son entourage... Tout était possible et au regard de la fulgurance de l’attaque savamment orchestrée, le jeune homme était bien incapable de de pointer un doigt accusateur. “Laisse nous.”“Mais…”Il tenta de lever la main pour convaincre son meilleur ami, et amant occasionnel, pour l’épargner toute résistance mais la terrible beauté glaciale ne l’en lui laissa pas l’occasion avant de rugir à nouveau. “LAISSE-NOUS. Sortez tous, je ne veux personne ici et dans ces lieux. Partez et ne revenez pas.”Il parvint à observer une dernière fois, à travers ses cils, la silhouette torturée de son ami avant de le voir s’éloigner définitivement en même temps que les serviteurs. “Pardonne moi.” La voix douce de sa mère qui lui chantait une berceuse sembla apaiser les soubresauts de son corps. Son cœur ralentit doucement alors qu’il se laissait guider vers les ténèbres, le froid envahissant chaque parcelle de son épiderme. Un long couloir au bout duquel la silhouette de son père se distinguait dans une lumière éclatante. Un sentiment de plénitude absolu. Et la douleur la plus vive qu’il ait jamais ressenti, semblable à des milliers d’oiseaux tourbillonnant autour de lui et hurlant avant de fondre sur lui pour le déchiqueter.
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| | 07.08.23 22:15 | |
| | Sorley Glades Nemo me impune lacessit. ֎ Faciem : Thomas Doherty. ֎ Diem natalis : 703 ans - 1687. ֎ Officium : Aucun. ֎ Locus : New Abbotsford. ֎ Creator : Ezékiel. ֎ Infants : Aucun. ֎ Proprietas : Aucun. ֎ Nuntium : 222 ֎ Adventus : 20/09/2022 ֎ Color : #804f4f. ֎ Multicomptes : Ezékiel. ֎ Pseudo : La Baronne. ֎ Crédits : @La Baronne.
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