| Omen ֎ Mauvais ou bon présage ?
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| |  30.07.23 16:16 | |
| | Omen 
"Tout ce qui est à toi est à moi"
֎ Faciem : Adrien Brody
֎ Diem natalis : en 1515
֎ Officium : Skavenger
֎ Locus : Extérieur ou souterrains
֎ Creator : Silas
֎ Tutor : Silas
֎ Infants : Lyn
֎ Nuntium : 46
֎ Adventus : 16/05/2023
֎ Multicomptes : (De)Lucius
֎ Pseudo : Shenzy
 Les Apatrides |
Omen ֎ Nom complet : Alors ce n'est pas avec de telles manières que je vous dirais un nom qui a sombré dans l'oubli. Ce n'est pas comme ça que je suis connu. Un jour, peut-être, je le dirai. Peut-être. A la bonne personne... ֎ Titre : Omen ֎ Date de naissance : 1515 ֎ Âge : 873 ans / 37 ans physiquement. ֎ Créateur : Silas Aka Omen ֎ Infant(s) : En recherche de quelqu'un de digne (et de dingue). ֎ Localisation actuelle : Probablement à l'extérieur ou dans les souterrains ֎ Rang actuel : Apatride ֎ Fonction(s) : Chasseur de trésors… c'est sans doute ce qui me correspond le mieux. Fournisseur pour le marcher noir, ou Skavenger. ֎ Calice : Personne n'est assez fou pour ça ֎ Enregistré(s) : On dirait du bétail, non, je n'enregistre rien. ֎ Statut : Libre, encore et toujours. C’est pas faute d’avoir voulu m’attacher… ou attacher… ֎ Préférence(s) : Un paragraphe ne suffirait pas à expliquer tout cela, mes amis, j'en ai peur. On peut dire que j'aime tout ce qui sort de l'ordinaire. Je ne sais pas me satisfaire de la normalité malheureusement. Je me demande ce que vous avez en tête pour me poser ce genre de question… ֎ Personnalité : Quel est cet interrogatoire ? Il est étrange ! Quand est-ce que commence la torture, la vraie. Histoire de se mettre en jambes ! J'ai pas grand-chose à dire sur moi-même… pardon… c'était à vous ? Que voulez-vous… c'est que vous n'avez pas serré assez forts les liens. Rajoutez menottes et cages, je n'en serai que plus ravis. Je n'aime pas me battre plus que cela, mais me dérober à vos bons soins est un plaisir absolu… peu après vient celui de vous avoir dérobé une chose au passage. Je suis assez porté sur ce que les jeunes d’il y a quatre siècles appelleraient les sensations fortes. J’aime avoir peur. Oui, c’est étrange, mais je suis totalement et absolument dépendant de cette sensation. Ma plus grande peur étant la claustrophobie, je vous laisse imaginer le plaisir que j’ai de me laisser enfermer au plus profond des trous. ֎ Particularités : Vous pouvez me voir sur ces photos. Certains me trouvent laid avec mon nez en bec de rapace et mes sourcils tombants qui me donnent un air tantôt triste, effrayé, et gentil. Aaah les apparences ! Quelle belle invention, vous ne trouvez pas ? Mon signalement, pour les avis de recherches, est un peu plus flatteur : Homme grand et mince aux traits anguleux et aux yeux verts et or, noir de cheveux. Visage atypique souvent mangé par une courte barbe peu entretenue qui semble taillée à coup de serpe… recherché pour… blablabla… arnaque, vol, enlèvement, adultère… forte récompense… blablabla … Croyez-bien une chose : je ferais tout, absolument tout, pour cacher mon jeu. Mon apparence n'est qu'un présage de mon âme… ou ce qu’il en reste. ֎ Faiblesses et points forts : C’est donc pour ça, tout ce pourquoi du comment de ces questions ! Vous souhaitez savoir comment m’atteindre ? C’est habile. Disons que je suis quelqu’un qui cède un peu trop facilement à l’appel du défi. Si quelque chose est bien gardé, cadenassé, surveillé, enfermé… Je me ferais un plaisir de trouver un plan pour déloger cette chose-là, même s’il ne s’agit que d’une chaussette droite absolument hideuse. Plus l’entreprise est risquée et dangereuse, plus vous me trouverez partant. J’admets que toute chose perd de sa valeur à mes yeux dès l’instant où elle est en ma possession. Une autre chose : je n’aime pas me battre. Non pas que je sois faible physiquement ou autre, mais je n’aime pas cette idée comme quoi un combat en duel aurait des règles. Et pourquoi est-ce que je n’aurais pas le droit de harponner mon ennemi ? Vous voyez le tableau. Je trouve cela étrange au possible. Vous voulez une autre particularité ? Je suis inapte à la vie en ville. La hiérarchie, tout cela, les manières, la politique, les célébrités… Je n’y entends absolument rien. J’ai un côté subversif qui peut parfois être gênant. Mes points forts ? Ils ne sont pas si nombreux. Il semble que j’ai un talent inné à me retrouver dans des situations… particulières, et à pouvoir m’en sortir. J’adore user d’illusions pour attirer votre regard où j’en ai envie pendant que je vous dérobe ce dont j’ai besoin. Et si je me fais attraper, vous ne pourriez pas me faire plus plaisir. Mettez-moi aux fers, dans votre prison la plus obscure, et serrez un peu plus ces chaînes autour de moi.
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Personnage Inventé de moi
FC Adrien Brody
Crédits@praimfaya :copyright:VOCIVUS |
 
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| | 30.07.23 17:16 | |
| | Omen
"Tout ce qui est à toi est à moi"
֎ Faciem : Adrien Brody
֎ Diem natalis : en 1515
֎ Officium : Skavenger
֎ Locus : Extérieur ou souterrains
֎ Creator : Silas
֎ Tutor : Silas
֎ Infants : Lyn
֎ Nuntium : 46
֎ Adventus : 16/05/2023
֎ Multicomptes : (De)Lucius
֎ Pseudo : Shenzy
Les Apatrides | ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎֎ ֎ ֎ Tranche journal de bord Vous êtes chez moi. Vous savez que vous ne devriez pas y être. Votre regard se balade dans cette pièce qui absorbe la totalité de votre attention tant il y a des choses à regarder. Peut-être sont-ce ces tableaux d'art qui attirent votre œil ? Ou cet empilement de petits objets rectangulaires noirs et plats que les moins de 300 ans ne connaissent pas. Et que pensez-vous de ces livres, de ces montres, de ces bijoux ou de ces vêtements ? Ici, rien n'est rangé, et tout est à sa place. La seule chose qui semble être déplacée est un vieux journal de bord ouvert sur une page de compte détaillée. Si vous retournez les pages pour remonter dans le temps. Rapidement, le journal s’est arrêté, mais peu avant qu’il ait fini d’être rédigé, voici ce que vous pouvez y découvrir : |
| Navire Balbuzard. 12 octobre 1552. | Nous avons été payés très grassement pour un convoi tout particulier. Il s’agit d’un homme à l’allure aristocratique et de ses nombreux et lourds bagages. Je ne sais toujours pas pourquoi il a fait appel à nous, nous sommes plutôt du genre pavillon noir que guides touristiques, mais quand l’or a parlé, qui sommes-nous pour répliquer ? Il s’est installé dans les quartiers réservés aux dames de marin et ne quitte pas sa chambre pendant la journée. Je suppose qu’il est malade et ne souhaite pas offrir à mon équipage le spectacle d’un homme tel que lui en train de rendre tripes et boyaux par-dessus bord. |
| 20 octobre 1552 |
Un premier cas de maladie est avéré. Les symptômes sont les suivants :
Fatigue excessive
Pâleur exsangue
Faiblesse inhabituelle
Marques de morsures
Certains soupçonnent des rats, d’autres une forme étrange du scorbut. Nous avons décidé de faire halte au Sénégal et de remplir nos cales de provisions fraîches avant de partir pour le nouveau monde. Notre invité ne semble pas spécialement s’en plaindre. Il me demande juste de remplacer les matelots malades par “du sang neuf”. | | 13 novembre 1552 |
Malgré nos précautions, la maladie s’est propagée à d’autres membres de l’équipage. J’hésite encore une fois à faire demi-tour. Les cyclones ne nous pardonneront pas la moindre faiblesse.
Ajout du 13 novembre au soir - L’homme mystérieux a doublé son prix. Nous continuons.
| | 17 novembre 1552. | Aucune nouvelle de l’homme. Il semble qu’il ne se soit plus baladé sur le pont depuis des jours. Personne ne l’a vu pendant leur quart, ni la nuit, ni le jour. Je vais mener mon enquête.
| | 18 novembre 1552 | Il y a, dans ses quartiers, des malles et des sacs. Son outre était pleine d’un alcool exotique que je ne connais pas, à l’odeur ferreuse et peu ragoutante. Il transporte un cercueil d’une très grande facture. J’ai tenté de le crocheter, mais la serrure me résiste. Je fais une seconde tentative dans la soirée.
| | Fin novembre 1552 | Je ne sais pas quel jour nous sommes. En relisant mes précédentes lignes, je me dois de vous prévenir : j’ai réussi à crocheter la serrure. Je pensais y trouver sa femme décédée, parée de bijoux et en vêtements coûteux. Il s’avère que c’était l’homme qui reposait là, pâle comme un mort. Il a ouvert les yeux, s’est jeté sur moi, et m’a mordu. J’ai senti la vie me quitter et je ne me souviens plus du reste.
Quand je me suis réveillé, je me sentais très faible, j’avais envie de vomir… Mais surtout… SURTOUT… j’étais allongé dans le noir, les mains attachées dans le dos. Quand j’ai réalisé que j’étais dans un cercueil fermé, le temps s’est arrêté. Je n’aime pas être enfermé, je n’ai jamais aimé. J’ai crié, paniqué instantanément, pleuré, prié… J’ai gratté le fond de mon dernier lit à m’en retourner les ongles et à m’en faire saigner les doigts. J’ai frappé sur le couvercle avec mon front, je me suis cassé les genoux à force de coups.
J’ai cru mourir de peur. J’ai cru que les parois se rapprochaient de moi. Je me suis demandé quelle mort j’allais avoir, si l’homme allait me jeter par-dessus bord, je l’en croyais capable. Allais-je manquer d’air en premier ? Mourir de faim, de soif, succomber à ma terreur ?
Au bout d’un temps que je ne saurais dire, j’ai entendu des pas. J’ai bondi hors de ma cage au moment où le couvercle s’est ouvert, ayant presque instinctivement crocheté la serrure. Je me suis fait attraper d’une poigne de fer. L’homme m’a souri de toutes ses dents, des dents de chien. Sa bouche s’est refermée sur moi. Je me suis senti me débattre, encore, puis trembler comme si mon corps en avait assez de lutter. Avec l’énergie du désespoir, j’ai tiré sur mes liens, essayé de me débattre tandis que la vie me quittait, mais je n’ai pu que me battre avec ses armes à lui. Je l’ai mordu à l’épaule, encore et encore, j’ai mâché sa chaire, j’ai aspiré son sang pour qu’il soit faible. Si je devais mourir, je ne partirais pas seul !
C’est là qu’il m’a brandi par-dessus bord d’une seule main autour de ma gorge. Je n’avais jamais vu une telle force. Il m’a simplement trainé sur le pont, et m’a tenu, bras tendu, tandis que la mer s’ouvrait sous moi. J’étais déjà mort, je le savais. Mes dernières forces me quittaient tandis que je le maudissais. Il n’allait jamais rejoindre les côtes du nouveau monde, de toute façon. Les cyclones sont impitoyables. Seul un marin expérimenté peut espérer les traverser. Cela l’a fait renoncer à son envie d’en finir avec moi.
| | Probablement décembre 1552 | Les vents d’ouest nous poussent vers les côtes à hauteur de 25 nœuds. Nous serons arrivé dans peu de temps. Je me sens mieux, bien mieux. L’homme ne m’a pas jeté par-dessus bord, même si je suis mort. Il m’a soigné, m’a expliqué ce qui m’arrivait, et a fait l’énorme erreur, dans toute sa prétention, je présume, de m’assurer que je trouverais une fin paisible si je l’amenais à bon port. Il n’a jamais libéré mes mains et me gardait soigneusement attaché avec lui, sous bonne surveillance, alors qu’il m’abreuvait de son hideuse boisson.
L'homme aurait dû avoir un mystérieux accident après ma convalescence. Nous avons parlé, longtemps, il m'a apprit beaucoup. Je n'ai jamais pu me résoudre à le faire couler par le fond. Il est devenu capitaine du navire, je suis devenu Omen.
Je n’ai jamais su son nom. Ses possessions me reviennent de droit.
| | Noël 1552 | Nous sommes enfin arrivés dans le Nouveau Monde. Nous sommes arrivés de nuit, selon mes instructions. Un curieux comité d’accueil semblait attendre le Balbuzard. Des personnes encapuchonnées à l’accent étranger demandaient à voir Omen, notre passager. Je leur ai dit qu’ils étaient précisément en train de s’adresser à lui.
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Le livre de compte commence après cette histoire. Il y a eu l’achat d’un nouveau navire, de terres cultivables, il y a des actes de ventes, de possessions, de reventes, et certains titres probablement falsifiés. Vous avez raison. Il y a, par la suite, des actes de propriété d’esclaves, suivit d’actes de libération. Des avis de recherche, plein, de différentes époques. Une véritable collection. Peu après, de nouveau un livre de compte, quelques photos plus récentes, en noir et blanc, puis en couleur. Ces photos de moi de face, puis de profil, avec un numéro sur une petite pancarte. Il y a beaucoup de prisons différentes, beaucoup de photos. Des extraits d’articles de journaux relatant des évasions spectaculaires, parfois commise par une personne qui allait être libérée le lendemain. Je ne vous cache pas que j’adorais cette période. Mon petit plaisir : me faire enfermer pour un délit mineur dans le seul but de voir si, quand, et comment je pourrais m’évader de la prison. Bon, les gars, vous avez bien vu comment c’était chez moi. C’est super et merci d’être passés. Vous avez bien conscience que je me suis déjà détaché il y a plus d’une heure, que ma lame est contre vos reins… Et que je ne vous donnerai jamais… absolument jamais… le moyen et l’endroit de ma planque ? ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎֎ ֎ ֎ | | | |
| | 01.08.23 17:25 | |
| | Le Destin 
"Ab origine fidelis."
֎ Faciem : Sans visage
֎ Diem natalis : 0000 - Originel
֎ Officium : Bourreau
֎ Locus : En tous lieux
֎ Infants : Toutes âmes immortelles
֎ Proprietas : Toutes âmes mortelles
֎ Nuntium : 1238
֎ Adventus : 28/11/2017
 | ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎֎ ֎ ֎ "Que vois-je ? Serait-ce une nouvelle âme errante ? Mmh...Oui... Très bien...Puisque tu as eu assez de cran pour passer les portes des Enfers, sois prête à affronter ta plus sombre Destinée."
Je te promets que tu ne seras pas déçue.
Te voilà désormais validé(e), félicitations ! Pour parfaire cette validation, il ne te reste plus qu'à t'inscrire aux différents registres du forum. Tu trouveras ces derniers juste ici : REGISTRES. Ensuite, tu peux commencer ton aventure sur LRTH ! Et pour cela, quoi de mieux que d'ouvrir ta fiche de LIENS ? Oh, tu peux également créer tes SCENARIOS et/ou tes PRE-LIENS !
À Bientôt en jeu !
Le Staff. ©LRTH (texte). ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎ ֎֎ ֎ ֎ | | | |
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