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Does it get your blood boiling? [Elianne]



16.03.24 14:39

Fitzwilliam Hagebak-Davis
Does it get your blood boiling? [Elianne] 2551147290fbc834eabe27ec8ea17fb7
֎ Faciem : jonathan bailey
֎ Diem natalis : 18 avril 1837 - 553 ans
֎ Officium : conseiller - domaine militaire.
֎ Locus : new abbotsford.
֎ Creator : livia hagebak.
֎ Nuntium : 518
֎ Adventus : 06/03/2018
֎ Color : #996600
֎ Multicomptes : ephraim l. - circé h.
֎ Pseudo : nepenthès.
֎ Crédits : monoclegraphic.
Does it get your blood boiling? [Elianne] W7d3
Fitzwilliam Hagebak-Davis
La Régence
https://lrth.forumactif.com/t2201-fitzwilliam-hagebak-davis-the-strength-of-thousand-men
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Does it get your blood boiling?

@Elianne Woodlow
ides de mars 2390 | Oasis Pleasure - salle commune

“Tu devrais faire un tour à l’Oasis. Ca te permettrait de te détendre et d’occuper ton esprit avec quelque chose de bien plus plaisant.” Malgré le regard noir que lui avait adressé Fitzwilliam, son bras droit n’avait pas totalement tord. Depuis son retour de New Bellingham dont les images sanguinolantes et dépravées continuaient de le hanter, il s’était accordé bien peu de temps à lui même. Il ne pouvait se sortir de l’esprit le visage délicat de cette jeunes sacrifiée à la table du Roi, la manière dont son estomac s’était retourné en la voyant être réduite en pièce sans pouvoir rien faire ou intervenir. Ce n’était pas dans ses habitudes d’être témoin de pareilles atrocités sans veiller à ce qu’elles cessent ou ne soient punies. En terrain ennemi, il n’avait cependant pas eu le choix. “Tu travailles trop.” Dans la bouche de Benedict, ce n’était pas un compliment mais comment pouvait-il faire autrement lorsqu’il était désormais Conseiller ? Alors qu’il disposait du rôle le plus prépondérant de la Cité en l’absence de Wanda ? Gérer la sécurité tant intérieure qu’extérieure était épuisant et il n’avait pas le droit d’abaisser la garde. “La Cité ne va pas s’effondrer si tu t’accordes quelques heures en compagnie de danseuses aux charmes inégalables. Tu n’a pas même encore vu le nouveau spectacle des Sept.” Il poussa un soupir, même si l’oxygène ne lui était guère utile. Finalement, il leva les bras comme abdication. “Très bien, très bien, je me rends.”

Et voilà comment il se retrouvait dans cet atmosphère à la fois familière et étouffante du lieu de plaisir le plus célèbre de la Cité. Rien n’avait véritablement changé depuis sa dernière visite, si ce n’est que le souvenir de Mélanie sa Calice et défunte épouse s’était progressivement ternie avec les récents évènements. Il était veuf à nouveau. Il avait conservé son veuvage bien plus de temps qu’il ne l’aurait dû. Il avait le droit de continuer avec son immortalité et Benedict avait bien l’intention de lui montrer la voie. En pénétrant dans le velours des lieux, il adressa un signe de tête au barman qui prit note de sa commande comme s’il était venu la veille. Sur scène, un charmant tableau offert par Paresse et Gourmandise excitait la salle alors que l’immortel se rendait directement dans le balcon intimiste entouré de lourdes tentures rouges qui pouvaient se refermer d’un seul geste de la main et qui était réservé aux Conseillers et autres Hauts Dignitaires. Il se laissa retomber sur le divan confortable aux teintes sanguines alors que son ami s’installait dans un des fauteuils sans lâcher la scène du regard.

“Merci.” murmura-t-il à la jeune serveuse qui venait de leur apporter leur coupe de sang et qui s’en retourna rougissante et les poches plus lourdes de quelques couronnes. Il s’empara du verre dans lequel il trempa ses lèvres avant de laisser son regard sombre glisser sur la salle. Il observa les riches et puissants s’encanailler avec les esclaves à leur coupe. Des mains se glissaient sous les vêtements des uns et des autres. Des langues se passaient sur les lèvres alors que les regards restaient fermement ancrés sur ce qu’il se passait sur scène. Il ne put s’empêcher d’avoir une mine dédaigneuse, comme s’il venait d’ouvrir les yeux sur le côté répugnant de cet endroit de plaisir. Les humains qui y travaillaient le voulaient-ils vraiment ? Etaient-ils vraiment mieux que les résidents de New Bellingham ? Il ramena ses pupilles sur son verre qu’il but d’une traite, tentant d’oublier le cauchemar qui continuait de jouer encore et encore, avant de faire signe à une serveuse. “Apportez moi du whisky, s’il vous plaît.” lui demanda-t-il en présentant sa lourde bourse de velours.



❝Haunted by the ghost of you. ❞ I am not the only traveler who has not repaid his debt. I've been searching for a trail to follow again. Take me back to the night we met and then I can tell myself what the hell I'm supposed to do. And then I can tell myself not to ride along with you.
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17.03.24 1:33

Elianne Woodlow
Does it get your blood boiling? [Elianne] Vu9h
֎ Faciem : Anya Taylor-Joy
֎ Diem natalis : 25 ans, née le 11 août 2365
֎ Officium : Danseuse et prostituée au Oasis Pleasure - Colère
֎ Locus : New Abbostford
֎ Tutor : Oasis Pleasure
֎ Matricule : NA6537201
֎ Nuntium : 126
֎ Adventus : 06/01/2024
֎ Color : #25AB9D
֎ Pseudo : Kyalema
֎ Crédits : avatar : @caelestisart
Does it get your blood boiling? [Elianne] Bl94
Elianne Woodlow
Les Enregistrés Exclusifs
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Does it get your blood boiling?



Une soirée de plus dans notre antre. Une soirée de plus à sentir tous ces regards posés sur nous. Une soirée de plus à prendre plaisir d’être ici, d’être au centre de l’attention. Une soirée de plus à exulter toute ma colère dans une danse effrénée et pourtant mesurée et millimétrée. J’observe deux autres Péchés en train de se produire tout en ajustant mon bas et le plis de ma botte. Il n’y a pas à dire, nous sommes les meilleurs en termes de spectacle. Aucun des Sept n’usurpe sa place et son titre. L’on pourrait presque être fier de notre groupe sélectif et si performant. Si toutefois ce sentiment pouvait être partagé. Ce qui n’est sans aucun doute pas le cas. Nous nous respectons et des alliances voient le jour mais j’imagine que ça s’arrête là.

« Regarde comme Paresse les subjugue. »  Je souffle à Avarice, ma partenaire du soir. « Nous allons avoir la lourde tâche de choisir notre client du soir. » Mon sourire en coin démontre comme j’ai hâte malgré la représentation qui va avoir lieu.

Cela m’amuse au plus haut point ces situations. Celles où -sauf gros gratin-, nous sommes en position de choisir celui qui partagera notre nuit. Mais avant ça, il va nous falloir faire un sans faute et comme à chaque représentation, nous allons nous dépasser. Nous allons montrer à tous pourquoi les Sept sont l’Elite ici.

Nous montons sur scène alors que les deux autres sont encore là. Nous échangeons des pas avec une fluidité effarante, nos corps donnent l’impression de se lover les uns contre les autres alors qu’il n’en est rien. Cette maîtrise parfaite de notre chorégraphie pourrait nous permettre de danser même en perdant la vue. Je suis certaine qu’il en est de même pour les autres.

Paresse et Gourmandise quittent la scène, s’évaporant avec une grâce presque surnaturelle. Avarice et moi prenons l’entièreté de la scène avec notre prestance et nous n’avons rien à envier au duo précédent. Notre alliance nous permet sans doute une certaine complicité supplémentaire, si toutefois ce mot fait réellement partie de notre vocabulaire. Disons que ça doit s’en approcher.

Je quitte la scène, balançant mes jambes de façon démesurée et presque outrageuse pour l’homme en face de moi. Je lui fais un clin d'œil, une avance de ce que pourrait être la suite de la soirée. Je ne suis pas Luxure mais nous devons être désirables pour chaque personne ici présente. Je m’approche d’un client, me love à lui sans perdre le rythme de la musique, elle me colle à la peau, circule dans mes veines comme s’il s’agissait de mon sang. Je viens lécher cette base de la carotide, endroit précis où ce client m’a mordu pour la première fois. J’aime retenir ce genre de détail probablement insignifiant à leurs yeux. Je me redresse avec souplesse et une grâce féline après l’avoir embrassé sur le nez et je passe au suivant. Cette fois, je viens mordre, violemment, l’Immortel qui partage mon lit depuis des années. D’aucun dirait que mon geste est déplacé, qu’une putain de mortelle n’a aucunement le droit d’agir de la sorte. Pourtant, je le prends avec lui. Et il me le rend en m’attrapant le poignet pour le serrer fortement. Trop fortement presque. Je sens mon poignet presque craquer mais avant que je me demande s'il est en train de me le casser, il me lâche déjà pour ne pas entraver davantage ma danse. Mais le feu qui brûle dans ses yeux me prévient de la suite des événements. Est-ce un frisson qui parcourt mon corps ? Bien sûr. De peur ? Peut-être est-ce ce parfum qui s’échappe de moi une seconde, vite remplacé par le désir. Je suis sûre que d’autres l’ont senti et j’apprécie.

Je remonte sur scène, rejoignant ma comparse pour le reste de notre numéro. Chacune dans notre style, chacune dans son monde et pourtant si complémentaire aux yeux des clients. Ma rage passe par tous les pores de mon corps, à chaque mouvement que j’effectue. Je pourrais me perdre dans la musique et ne plus m’arrêter. Pourtant, le tempo de la musique se modifie, amorce la passation de pouvoir au second duo, m’obligeant à ravaler cette colère qui n’avait pourtant pas terminée de s’extraire. Luxure et Orgueil sont les prochains, un duo tout aussi impressionnant.

« Je pense savoir avec qui passer ma nuit. » Que je me murmure en repensant à cet Immortel et en posant mes yeux sur mon poignet légèrement rougie.

Jusqu’à entendre la rumeur d’un Conseiller présent en ces lieux. Après m’être passer une serviette sur la nuque et bu quelques gorgées d’eau, je quitte nos loges pour venir me mêler à la foule. J’essaye de connaître le visage de ces Immortels hauts placés, est-ce un habitué ? J’observe les clients présents tout en accordant toute l’attention que mérite celui qui m’aborde. En prenant néanmoins garde à ne pas me laisser approcher par l’un des autres Péchés. Nous avons notre territoire, nos clients. C’est une règle tacite entre les sept. Lorsque je vois une serveuse se déplacer avec un plateau et une bouteille hors de prix, j’abandonne avec politesse l’homme à mes côtés.

« Quel balcon ? » Ma voix, ferme et claire, indique que je n’attends qu’une réponse et que je ne saurais accepter un refus de sa part.

La serveuse balbutie quelques mots, prétextant une histoire d’argent, avant que je ne claque la langue entre mes lèvres. Elle sursaute et m’indique le numéro du balcon en question. Il faut croire que même parmi les serveurs, ma réputation s’est transmise. Parfait. J’attrape le plateau et me rends donc à l’endroit indiqué. Je souffle mon arrivée à -aux ?- occupant-s- avant de passer entre les rideaux pourpres.

Ils sont deux. L’un semble surpris, m’a-t-il reconnu ? Son visage me dit quelque chose sans que ce ne soit l’un de mes habitués. Je lui adresse un sourire mais je passe rapidement à l’occupant principal du lieu. Ses vêtements, sa façon de se tenir, cette aura ; cette serveuse ne s’est pas foutue de moi. Un bon point pour elle.

Ai-je du culot d’agir ainsi ? Sans aucun doute. Et même si les règles interdisent aux Immortels de faire ce qu’ils veulent de nous, pauvres humains, je sais que peu d’entre nous cherche autant que moi leur présence. Ca me tuera sans doute un jour.

Je le serre comme si je faisais ça toute la journée, comme si je passais mon temps à servir plutôt qu’à danser. Mais ici, il vaut mieux savoir tout faire. Je laisse néanmoins le verre sur la table, proche de lui. Il m’est déjà arrivé de faire l’impaire en passant de main en main ; un geste qui n’avait pas du tout plus à l’Immortel concerné.

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13.04.24 17:09

Fitzwilliam Hagebak-Davis
Does it get your blood boiling? [Elianne] 2551147290fbc834eabe27ec8ea17fb7
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Does it get your blood boiling?

@Elianne Woodlow
ides de mars 2390 | Oasis Pleasure - salle commune

Son regard se reporta à nouveau sur scène, se détachant du spectacle peu reluisant de vampires éméchés et alléchés pour se poser sur le duo suivant. Colère et Avarice prenaient place au centre de tous les regards. S’il ne les connaissait pas personnellement, il en avait évidemment entendu parler, qu’il s’agisse des rapports que tout bon Haut Conseiller se doit d’avoir sur ses ouailles que des échos enthousiastes de ses hommes qui venaient en ce lieu dépenser toutes les Couronnes durement acquises. Il fallait dire que cela valait la peine au regard des danses voluptueuses et aguicheuses que ces dernières proposaient. Son regard ne quitta pas les mouvements sensuels et maîtrisés de la sylphide. Colère réalisa-t-il lorsque cette dernière vint imiter avec une morsure dans le cou d’un client avec qui un certain lien s’était manifestement créé pour qu’il se laisse faire de cette manière. Une pointe de douleur perça de manière surprenante dans l’organe qu’il lui restait mais ne battait plus depuis des siècles. C’était un geste que se permettait son épouse lorsqu’elle était encore de ce monde, se faisant la pantomime d’un geste intime bien rodé entre eux selon leurs envies et besoins. Plus d’un an après sa disparition, la souffrance était toujours bien présente. Ce délai ne représentait, après tout, qu’un battement d’aile de papillon pour un Immortel tel que lui. Et la culpabilité d’avoir cédé à son désir de la chair, au surplus avec un ennemi, bien avant la fin de sa période de deuil ne faisait qu’accentuer cette dernière.

Il revint à l’instant présent lorsque des applaudissements et des bravas résonnèrent dans le lieu de stupre. Se joignant à ces derniers, il observa des visages familiers prendre leur tour sur scène, soulagé de retrouver au moins ces derniers, véritable ancre dans son quotidien ces derniers temps. Les choses avaient changées mais certaines choses demeuraient les mêmes malgré tout. Il tenta de reprendre une conversation mondaine avec son ami mais se rendit rapidement compte que chacun des sujets de conversation ne semblaient guère opportuns en ces lieux, d’autant que son camarade entendait bien profiter du spectacle d’un angle nouveau. Fitz ne put s’empêcher de sourire en coin en le voyant tenter de discrètement compter ses couronnes. « Si tu comptes t’attribuer les faveurs d’un des Septs, il t’en faudrait le double. » commenta-t-il. « A minima. » Son ami ne semblait guère amusé par ses taquineries mais cela ne l’empêcha nullement de poursuivre. « Si c’est Orgueil ou Avarice, demande directement une hypothèque sur tes logements. »

Leur conversation bon enfant, enfin davantage pour l’un que pour l’autre, cessa lorsqu’un cœur humain battit à la limite de leur balcon et qu’une voix annonça leur commande. Tel le gentleman qu’il demeurait malgré ses fonctions et sa position, le Haut Conseiller se retourna vers la serveuse qu’il remercia alors qu’elle posait les verres sur la table, faisant preuve d’une grâce et d’une attention exceptionnelle. Il fronça les sourcils en réalisant qu’il ne s’agissait pas d’une serveuse comme les autres, ni d’une serveuse tout court. « Merci … » lui indiqua-t-il dans un souffle, attirant l’attention de son ami qui s’enthousiasma aussitôt. « … Colère. » Avant que son ami n’ait demandé à profiter d’une danse privée comme l’homme brusque et sans manière qu’il pouvait être parfois, Fitz lui coupa l’herbe sous le pied. « C’est un véritable honneur de vous avoir avec nous. » Il se leva pour lui adresser un salut avant de l’inviter à s’asseoir. « Vous feriez-nous l’honneur de prendre place et d’accepter un verre de notre part en remerciement du splendide spectacle que vous nous avez offert ? » D’un geste rapide de la main, il tira un fauteuil pour l’inviter à s’installer et ne reprit sa place qu’une fois qu’elle eut accepté de s’asseoir avec eux.

« Veuillez pardonner le Lieutenant pour ses manières. Il oublie parfois que le monde ne se résume pas aux murs de la Caserne et la compagnie de ses hommes. » Benedict fit mine de s’offusquer avant de rire joyeusement, réalisant que sa réaction et la manière dont il s’était penché vers la demoiselle ne laissaient guère de doutes sur ses réelles intentions.



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14.04.24 16:30

Elianne Woodlow
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Does it get your blood boiling?



Quel tableau intriguant. Si l’un des immortels semble vouloir m’approcher dès l’instant où mon identité filtre, seule la voix de son compère semble l’en dissuader. Ce dernier semble plus mesuré. Il ne se jette pas sur la marchandise à peine est-elle à sa portée. Mais je ne fais aucun mouvement de recul face à celui qui s’est dangereusement penché vers moi, il n’est pas le premier et ne sera pas le dernier. Peut-être même ai-je esquissé un mouvement dans sa direction. Tout est une histoire de jeu en ce lieu.

Je fais une parfaite révérence lorsqu’il me gratifie de telles paroles, mon sourire laissant clairement voir que la flatterie est toujours agréable à des oreilles dignes de la recevoir.

« L’honneur est pour moi. »
Je souffle en contournant le fauteuil qu’il me présente. Ma voix est sincère, comme toujours en présence de pareils individus.

Sont-ils venus partager un moment ensemble ? Les immortels sont en général plutôt égoïstes et possessifs, très peu partageurs, mais peut-être que ceux-là sont différents ? J’imagine que la suite de notre conversation m’en donnera la réponse. Deux vampires pour le prix d’un ? L’idée me plaît fortement. Mais il n’en est pas encore question.

En tout cas, il est certain que je suis au bon endroit. Il est clair que c’est lui, le conseiller présent en cette nuit. Je voudrais être nulle part ailleurs. Je viens prendre place sans me faire prier une seconde, le remerciant du regard pour ce geste. Je me love délicatement dans le fauteuil, comme l’on peut le faire dans les bras d’un amant.

« Je suis ravie d’entendre que vous avez apprécié notre numéro. » La fierté peut s’entendre dans ma voix, si nous nous entraînons autant, c’est bien pour être parfaits une fois sur scène. «  Le contraire m’aurait fortement peiné. »

Même sans être Orgueil, nous avons tous notre réputation à tenir et de mon point de vue, il est hors de question qu’un client ne soit pas satisfait du spectacle. Du moins, lorsque je monte sur scène. A plus forte raison lorsqu’il s’agit d’un immortel aussi imminent. Pourtant, il ne semble pas vouloir plus, pour l’instant. Sans le montrer, je dois avouer être surprise qu’il s’excuse à demi-mot pour le comportement de son lieutenant. Dans ces murs, presque tout est permis et il est loin d’avoir fait preuve d’offense. Son rire semble sincère et il a un petit quelque chose d’agréable aux oreilles.

« Je vous rassure, il n’y a rien à se faire pardonner en ce lieu. » Je me penche légèrement sur le fauteuil, du côté du Lieutenant, plongeant mon regard dans le sien pour souffler. « Et avec pareil rire, on doit tout vous accorder. » avant de revenir vers le principal occupant de la pièce.

« Dites-moi, quel était votre programme, avant ma venue ? J’espère ne pas compromettre vos projets de cette nuit ?  »


Bien sûr que si, j’espère les compromettre, il ne s'agit pas de n'importe qui après tout. Et il est sûr que mes yeux le laisse penser également. Ne dit-on pas que les Sept sont capables de faire passer des messages uniquement avec une partie de leur corps ? Ceci n’est pas un mythe, pour aucun d’entre nous.


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